« Grand frère », Mahir Guven : histoire à deux voix sur un sujet d’actualité (la guerre en Syrie et le terrorisme de l’Etat islamique) qui a reçu le Prix Première 2018. (Claudine)
« Meurtrier sans visage », Henning Mankell : encore une très bonne enquête de Wallander par un Mankell qui ne déçoit jamais. (Gina)
« Je vais rester », Trondheim & Chevillard : superbe BD pleine d’humanité et d’empathie sur le deuil aux couleurs estivales et aux doux dessins. (Jacqueline)
« La femme qui ne vieillissait pas », Grégoire Delacourt : beau roman qui amène à réfléchir sur le couple, l’âge et le fait de vieillir. (Eveline)
« Elle s’appelait Sarah », Tatiana de Rosnay : roman historique et d’enquête sur la mémoire et les non-dits. (Claudine)
« Dysfonctionnelle », Axl Cendres : roman touchant brassant plusieurs sujets tels que la tolérance, l’homosexualité, la drogue ou encore les stéréotypes grâce à une famille atypique. (Jacqueline)
« Mémé dans les orties », Aurélie Valognes : roman familiale drôle et attachant sur une famille passant des vacances ensemble dans une grande maison en Bretagne. (Claudine)
« The Hate U Give », Angie Thomas : beau roman brassant les questions de deuil, d’amitié et de violences policières dans le cadre du mouvement des Black Lives Matter. (Jacqueline)
« L’amour, accessoires », Fleur Breteau : étonnant et intéressant témoignage sur l’expérience de l’autrice qui a travaillé dans un sex shop, tout en délicatesse et sans une once de voyeurisme. (Sophie)
« Grandeur et décadence », Liv Strömquist : BD pamphlétaire délicieusement piquante qui démolit le capitalisme avec des arguments chocs imparables. (Sophie)
Date du prochain club de lecture : vendredi 3 août 2018